L’Atelier Tout Va Bien est né en 2009 d’un certain amour de la forme et d’une passion pour la précision graphique. Anna Chevance et Mathias Reynold sont tous deux issus de la fameuse ESAAB de Nevers et de la non moins appréciable EESAB de Rennes. Une fois leurs émoluments universitaires acquis, ils fondent le studio Tout Va Bien et avec lui le doux espoir de concilier sens et esthétique. Pour le bonheur de nos yeux et de la couverture du Kiblind 52 « Chess issue ».
L’Atelier Tout Va Bien est né en 2009 d’un certain amour de la forme et d’une passion pour la précision graphique. Anna Chevance et Mathias Reynold sont tous deux issus de la fameuse ESAAB de Nevers et de la non-moins appréciable ÉESAB de Rennes. Une fois leurs émoluments universitaires acquis, ils fondent le studio Tout Va Bien et avec lui le doux espoir de concilier sens et esthétique. Délaissant la veine prétention d’imposer un style qui leur est propre, ils s’attachent au contraire à un retour aux fondamentaux de la ligne, du point, de la surface et de la couleur. Une mise en branle des outils premiers du graphiste au service seul du message. Mais n’est-ce pas là, justement, que se trouve leur spécificité ?
Car, au détour de leurs différents travaux pour le Festival des Cinémas Différents et Exéprimentaux de Paris, pour le Festival Résonances et le Festival MV de Dijon, pour la revue Graphisme en France ou pour les différentes éditions d’artistes auxquelles ils ont contribué, ils ne cessent de prôner une utilisation optimale du nécessaire. Le résultat en est un jeu sans cesse renouvelé avec le regard, une gymnastique de l’observation qui rend aux yeux leur pouvoir de s’émanciper du réel. Les médias et maisons d’éditions spécialisées Étapes:, Gestalten, Form Design Magazine ou encore Le Nouvel Observateur ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, de même que leurs clients la Ville de Dijon, la Ville de Leipzig, Les Presses du Réel, Le Triangle de Rennes, le CNAP ou encore l’IAE de Paris.